L’ingénieur français Georges Mougin, a une grande idée. Il veut aller en Antarctique, placer une corde autour d’un gros iceberg de six millions de tonnes et le tirer vers l’Afrique pour le faire fondre en une eau fraiche et potable.
Il eu cette idée, il y a 30 ans de cela, quand lui et l’explorateur polaire Paul-Emile Victor ont rencontré un prince saoudien du nom de Mohamed al-Fayçal. Ils ont formé la Société de l’IIT (Iceberg Transport International) et estimé la faisabilité de cet épique projet de 1975 à 1981.
Mais avec divers obstacles, le manque de données et la technologie insuffisante, l’équipe a estimé que le projet serait irréalisable. Mougin à donc abandonné et mis cette idée bizarre dans un coin de sa tête jusqu’en 2009 où Il a découvert qu’il pouvait mettre virtuellement son plan a exécution à l’aide de l’entreprise technologique française Dassault Systèmes, qui crée des mondes 3D et des simulations algorithmiques pour concevoir et tester ses futurs produits. Mougin pouvait maintenant tester ses différentes théories de remorquage d’icebergs virtuellement, pour voir si son idée serait réalisable.
Ces simulations informatiques lui ont permis de répondre à un certain nombre de questions. En cartographiant les échanges de chaleur de l’iceberg sous un soleil brulant, il ne pouvait anticiper les restes du glaçon géant une fois arrivés à destination. Une simulation peut montrer comment l’iceberg aurait craqué et dégradé avec le temps (voir les simulations de modèles de fonte plus bas).
Il a également utilisé les données météorologiques et océanographiques de satellites pour suivre les courants, et de décider comment remorquer un iceberg de Terre-Neuve aux îles Canaries. Cela lui a donné toutes les données dont il avait besoin pour comprendre comment le voyage se passerait (simulation de modèle de dérive assistée plus bas).
Selon Mougin, un iceberg de plusieurs millions de tonnes peut être remorqué sur plusieurs milliers de kilomètres vers les îles Canaries, en 141 jours, en utilisant un seul remorqueur. L’iceberg perdrait 38 % de sa masse pendant le voyage, et une jupe faite de bandes de tissus géotextile pourrait l’empêcher de se briser.
Modèle de dérive assistée :
Encouragée par les résultats, l’équipe de IceDream envisage de porter l’idée au-delà du domaine de la simulation, et l’essayer dans le monde réel. Selon Fast Company, il y a des pourparlers, au moins, pour un essai dans le monde réel en 2012 ou 2013.
Ils pourront peut être récupérer la menaçante île de glace, qui flotte au large des côtes canadiennes et que j’ai récemment décrit, à l’aide d’un de ses tout derniers portraits satellite dans mon article la traque de l’immense et menaçante ile de Glace…
Le détail du projet en images et vidéo sur le site de Dassault Systemes : IceDream.
Il y a peut être plus simple : un super tanker !!!
Au lieu d’y mettre du pétrole, on y met des gros glaçons des pôles et on les achemine vers les pays qui en ont besoin.
Reste à savoir si c’est plus rentable qu’une usine de déssalanisation (gros doute sur l’orthographe du mot !!!) de l’eau de mer.
L’idée n’est pas si jeune en effet, mais avec un peu de patience, les iceberg viendront directement sur les côtes d’afrique ou selon les courants qu’ils rencontreront avec le réchauffement climatique (il me semble qu’un gros glaçon est sous observation depuis son détachement de la banquise l’année passée)
Effectivement Godzilla,
Je vais rajouter un lien vers mon précédent article sur la traque de l’immense et menaçante ile de Glace un immense bloc de glace qui s’est détaché d’un glacier et qui flotte au large des côtes canadiennes…
Je suis récemment aller au Iles Canaries, autrefois les Iles étaient plus peuplé de foret la colonisation les ont détruite ainsi que leur habitant, Tout cela pour en revenir sur un arbre particulier Le Garoé ou l’arbre fontaine : https://fr.wikipedia.org/wiki/Garo%C3%A9
Donc bien avant, les arbres du haut des montagnes capturé l’eau des nuages est brouillard qui balayent c’est Iles constamment, par exemple EL Hierro n’a pas besoin d’eau, car c’est Iles on de nombreuse failler est crevasse dans les montagnes de quoi contenir suffisamment d’eau.
Voila j’espère qu’il ne mèneront par leur projet qui ressemble plus a un projet commerciale qu’a vouloir régler un vrai problème sur le long terme, est pour l’Afrique il y a des solution suivant les régions est leur particularité.
Par exemple sur les cotes des houlomotrice il existe des modèle qui pompe et font de l’énergie qui peut ensuite être utilisé pour le dé-salement
j’ai pas compris