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Plus de 90 % des oiseaux polaires sont contaminés par des microplastiques

Plus de 90 % des oiseaux polaires sont contaminés par des microplastiques

Le plastique est pratiquement partout sur Terre. De la plus haute montagne aux plus grandes profondeurs des océans, des régions polaires à l’intérieur de notre corps, il n’y a plus moyen d’y échapper. Bien que la pollution plastique soit loin d’être un nouveau problème, l’ampleur de la pollution par les microplastiques n’est apparue que récemment.

La pollution plastique est généralement divisée en macroplastiques (>5 cm), microplastiques (0,1 µm-5 mm) et nanoplastiques (<0,1 µm). Plus le plastique est...

Cinquante ans après, des scientifiques découvrent les causes de la formation d’un trou de la taille de la Suisse dans la glace de l’Antarctique

Cinquante ans après, des scientifiques découvrent les causes de la formation d’un trou de la taille de la Suisse dans la glace de l’Antarctique

Chaque hiver austral, l’Antarctique subit un changement radical. La glace de mer l’entourant s’étend vers l’extérieur, doublant ainsi la taille du continent. Mais au cours des hivers 2016 et 2017, un trou inhabituel, appelé polynie, s’est ouvert au milieu de la glace de mer, un trou de la taille de la Suisse. Les scientifiques viennent de comprendre comment il s’est formé.

Ce trou a été baptisé polynie de Maud Rise en raison du mont sous-marin, ou montagne sous-marine, situé en dessous dans la mer de…

En Antarctique, le trou dans la couche d’ozone constitue une menace pour la vie

En Antarctique, le trou dans la couche d’ozone constitue une menace pour la vie

Malgré le protocole de Montréal, la couche d’ozone, essentielle pour bloquer les rayons ultraviolets du soleil, n’est pas entièrement reconstituée. Les espèces animales et végétales de l’Antarctique sont donc en danger.

L’avertissement émane de quatre membres du groupe d’évaluation des effets sur l’environnement des Nations unies, qui écrivent dans leur étude (lien plus bas) que le trou qui s’élargit chaque année dans la couche d’ozone reste désormais ouvert pendant l’été en Antarctique. Cela risque…

Des milliers de météorites encore non découvertes disparaissent dans la glace molle de l’Antarctique

Des milliers de météorites encore non découvertes disparaissent dans la glace molle de l’Antarctique

Plus de 60 % de toutes les météorites connues ont été découvertes en Antarctique, car elles sont faciles à repérer et se détachent sur le fond blanc gelé du continent. On estime que jusqu’à 850 000 météorites doivent encore être collectées sur la calotte glaciaire.

Une nouvelle analyse suggère que le réchauffement des températures rend la glace plus molle, ce qui fait que les météorites s’enfoncent profondément hors de notre portée. Au cours des prochaines décennies, nous pourrions ainsi perdre quelque 5 000 météorites par an…

Des taux de fonte de 130 mètres par an mesurés sous un glacier du Groenland

Des taux de fonte de 130 mètres par an mesurés sous un glacier du Groenland

Selon les mesures effectuées par l’Institut Alfred Wegener, l’épaisseur du glacier situé à l’extrême nord-est du Groenland a diminué de plus de 160 mètres depuis 1998. L’eau chaude de l’océan qui s’écoule sous la langue du glacier fait fondre la glace par en dessous.

Un camp rustique au nord-est du Groenland fut l’une des bases pour le déploiement par hélicoptère d’appareils de mesure autonomes dotés d’une technologie radar moderne dans une partie difficile d’accès du…

Ces manchots survivent grâce à des micro-siestes de 4 secondes, des milliers de fois par jour

Ces manchots survivent grâce à des micro-siestes de 4 secondes, des milliers de fois par jour

Les manchots à jugulaire (Pygoscelis antarcticus) font apparemment des milliers de siestes par jour pour se reposer tout en restant attentifs aux menaces.

La surveillance d’un nid est une tâche ardue pour un manchot, les prédateurs tels que le Labbe antarctique, qui se nourrit de poussins et d’œufs de manchots, sont à craindre, tout comme les autres manchots, qui peuvent perturber les nids des uns et des autres et même en…

La disparition de 8 km de glace d’un glacier de l’antarctique en 2,5 ans interroge les scientifiques

La disparition de 8 km de glace d’un glacier de l’antarctique en 2,5 ans interroge les scientifiques

Des scientifiques britanniques ont découvert qu’un grand glacier de l’Antarctique occidental avait perdu 8 kilomètres de glace en seulement 2 ans et demi, ce qui suggère qu’un « point de basculement glaciologique » a été franchi.

Cette découverte suggère également que des glaciers relativement stables peuvent se détériorer rapidement lorsqu’ils sont exposés à des changements environnementaux, tels que le réchauffement des océans.

Le glacier Cadman couvre une superficie d’environ…

Finalement, le trou dans la couche d’ozone n’est peut-être pas en train de se résorber, il pourrait même s’agrandir

Finalement, le trou dans la couche d’ozone n’est peut-être pas en train de se résorber, il pourrait même s’agrandir

Selon des scientifiques néo-zélandais, la couche d’ozone n’est peut-être pas en train de se reconstituer, le problème étant exacerbé par les feux de brousse, les éruptions volcaniques et les émissions de gaz à effet de serre.

Les recherches, publiées cette semaine (lien plus bas), suggèrent que la couche d’ozone de l’Antarctique a diminué de 26 % depuis 2004, contrairement aux précédents rapports qui faisaient état d’un rétablissement grâce aux mesures prises dans le cadre d’un accord appelé le…

Finalement, le trou dans la couche d’ozone n’est peut-être pas en train de se résorber, il pourrait même s’agrandir

Le trou d’ozone au-dessus de l’Antarctique est l’un des plus importants répertoriés

Le trou dans la couche d’ozone au-dessus de l’Antarctique est actuellement l’un des plus importants recensés, d’après des mesures effectuées par des satellites européens.

Selon l’Agence spatiale européenne, la « zone d’appauvrissement de la couche d’ozone » a atteint 26 millions de kilomètres carrés le 16 septembre 2023, soit une superficie trois fois supérieure à celle du Brésil…

Comment les pieuvres de l’Antarctique survivent-elles dans l’océan le plus froid de la planète sans geler ?

Comment les pieuvres de l’Antarctique survivent-elles dans l’océan le plus froid de la planète sans geler ?

Les pieuvres de l’Antarctique vivent dans les eaux les plus froides du monde, où les températures maximales sont de 10°C et descendent fréquemment à près de -2°C. La façon dont ces créatures à sang froid survivent à de telles conditions reste un mystère.

Il a récemment été découvert que les pieuvres du genre Pareledone utilisaient leurs trois cœurs pour pomper un type spécial de sang bleu dans leur corps, fournissant de l’oxygène aux tissus même dans des environnements extrêmement froids comme l’Antarctique….

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