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La chaleur extrême à laquelle sont exposées les villes a triplé en quelques décennies

La chaleur extrême à laquelle sont exposées les villes a triplé en quelques décennies

Le monde se réchauffe, et les villes en subissent les conséquences. Une nouvelle étude portant sur plus de 13 000 villes a révélé que l’exposition à une combinaison mortelle de chaleur et d’humidité a triplé depuis les années 1980.

Cette tendance touche près d’un quart de la population mondiale, selon les résultats de la recherche, publiés cette semaine (lien plus bas).

Ce triplement est dû à deux facteurs principaux : d’une part, la hausse des températures due au changement climatique provoqué par l’humain et, d’autre part, l’explosion de la population urbaine…

L’urbanisation fait grossir les mammifères alors que cela devrait être l’inverse avec le changement climatique

L’urbanisation fait grossir les mammifères alors que cela devrait être l’inverse avec le changement climatique

L’activité humaine a réduit la taille des animaux sauvages dans le monde entier. Pourtant, des recherches récentes ont montré que de nombreux mammifères vivant à proximité des villes sont devenus de plus en plus volumineux, tant en longueur qu’en poids.

Ces résultats sont inattendus. Les environnements urbains tentaculaires, avec leurs vastes étendues de ciment baignées de soleil, peuvent se révéler bien plus chauds que les habitats naturels, et les températures plus élevées profitent généralement aux mammifères qui ont une stature plus petite…

En seulement 50 ans, les populations d’animaux sauvages de la Terre ont diminué de plus de deux tiers

En seulement 50 ans, les populations d’animaux sauvages de la Terre ont diminué de plus de deux tiers

La taille des populations de mammifères, poissons, oiseaux, reptiles et amphibiens a diminué en moyenne de 68 % entre 1970 et 2016, selon le rapport « Planète vivante 2020 » du Fonds mondial pour la nature (WWF), une évaluation semestrielle de la faune sauvage. L’Amérique latine et les Caraïbes ont été les plus touchées, avec un déclin moyen de 94 %.

Le rapport souligne que l’humanité est la cause sous-jacente de la détérioration de la nature et du déclin de la population d’animaux…

Moins de béton, moins de dépressions

Moins de béton, moins de dépressions

Une nouvelle étude a trouvé des preuves quantifiables qui soutiennent l’idée, Ô combien appréciable, qu’une promenade dans la nature pourrait réduire les risques de dépression (liés, peut-être, à votre trop grand matérialisme). Votre Guru est persuadé avoir déjà...

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