À l’approche du salon du Bourget, qui ouvre le 20 juin, les ingénieurs futuristes, chez Airbus, ont porté leur attention vers les distractions en vol et le confort des cabines pour les passagers de tels jets, dans un concept appelé “Cabin Concept”.
L’Airbus du futur est spacieux, ensoleillé et plein d’écrans interactifs. Des boissons seront servies dans un bar transformable, en espérant qu’on y joue pas déjà au golf virtuel. 
L’économie réalisée, en concentrant le plus de passagers sur un même vol, ne sera plus d’actualité. À l’avenir, les voyages aériens n’auront plus de classe et ils seront beaucoup plus confortables. Lorsque les avions ne seront pas remplis de voyageurs, les sièges inutiles à l’arrière de l’avion, s’escamoteront et toutes les places seront redistribuées automatiquement, afin d’offrir à chacun un espace plus grand pour détendre ses jambes. Ces sièges s’adapteront également au corps des passagers.
Plusieurs zones de détente sont prévues : une zone d’interaction au milieu de l’avion, sera un espace plus volumineux supplémentaire, qui à partir d’une salle de carte interactive pourra se transformer en un parcours de golf virtuel et autre activité ludique, à une salle de conférence ou un bar/salon, en fonction de la demande des passagers.
Une «zone de revitalisation" dans le nez de l’appareil offrira une vue panoramique de la Terre (image d’entête), tout en redynamisant les voyageurs avec de "l’air enrichi en vitamines et en antioxydants, un éclairage d’ambiance, l’aromathérapie et des traitements d’acupression (acupuncture sans aiguille)."
La structure bionique de l’appareil, s’inspire et prend le meilleur du squelette des oiseaux et permettrait d’être recouvert par une surface transparente qui pourrait être construite grâce à l’impression 3D, technologie dans laquelle EADS à beaucoup investit.
Présentation vidéo du “Concept Cabin” :
L’information diffusée sur le site d’Airbus en Français : Airbus présente une vue panoramique de 2050 et sur le site dédié au futur d’Airbus : The Airbus Concept Cabin.
