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Un vaccin en spray prévient les infections urinaires jusqu’à 9 ans chez plus de la moitié des patients testés

Un vaccin en spray prévient les infections urinaires jusqu’à 9 ans chez plus de la moitié des patients testés

Une nouvelle recherche a montré qu’un vaccin en spray oral contre les infections urinaires récurrentes empêchait la réapparition de la maladie pendant une période allant jusqu’à 9 ans chez plus de la moitié des participants à l’étude. Il s’agit d’une méthode sûre et efficace de prévention des infections urinaires et d’une alternative au traitement antibiotique.

Les infections urinaires sont douloureuses… littéralement, brûlante. D’autres symptômes, tels qu’une forte envie d’uriner qui ne disparaît…

La COVID et le cerveau : inflammation ou infection ?

La COVID et le cerveau : inflammation ou infection ?

La raison des symptômes neurologiques est peut-être une des questions les plus débattues au sujet de la COVID. Depuis l’apparition du SRAS-CoV-2 fin 2019, le virus est connu pour ses effets inédits sur le cerveau : extrême fatigue, anomalies cognitives, perte de l’odorat et du goût et brouillard cérébral. Mais comment provoque-t-il exactement ces symptômes ?

Deux hypothèses ont rapidement émergé. Une théorie suggère que ces problèmes neurologiques sont dus à l’infiltration directe du virus…

Les dinosaures aussi avaient du rhume

Les dinosaures aussi avaient du rhume

Selon une nouvelle étude internationale, les dinosaures auraient souffert de reniflements et de maux de gorge de la même manière que nous.

L’étude (lien plus bas) a examiné les restes fossilisés d’un jeune diplodocide, un grand sauropode herbivore à long cou et c’est ainsi que les chercheurs ont trouvé la première preuve d’une infection respiratoire chez un dinosaure.

Le diplodocidé, connu sous le nom de MOR 7029, a été découvert en 1990 dans le sud-ouest du Montana, aux États-Unis, et remonte à environ 150 millions d’années, au Jurassique supérieur…

Une étude estime que les chiffres officiels des cas de COVID-19 ne représentaient que 10 % du nombre réel d’infections

Une étude estime que les chiffres officiels des cas de COVID-19 ne représentaient que 10 % du nombre réel d’infections

Selon une récente étude australienne, le nombre réel d’infections de COVID-19 est probablement beaucoup plus élevé que ce qui est signalé dans de nombreux pays riches.

Une nouvelle estimation modélisée provenant des États-Unis, de l’Australie, du Canada, de la Corée du Sud et de 11 pays d’Europe suggère que les chiffres officiels concernant le nombre réel d’infections de COVID-19 pourraient avoir du mal à refléter l’ampleur réelle de l’épidémie…

À remettre dans le contexte : une étude en laboratoire montre que le SRAS-CoV-2 peut durer 28 jours sur certaines surfaces

À remettre dans le contexte : une étude en laboratoire montre que le SRAS-CoV-2 peut durer 28 jours sur certaines surfaces

Un groupe de recherche australien vient de publier ce qui semble être une découverte assez inquiétante : le SRAS-CoV-2, le virus qui provoque la COVID-19, est viable même après être resté 28 jours sur des surfaces telles que le verre et les billets de banque.
Alors que l’attention se porte en grande partie sur la ventilation intérieure des particules aérosolisées (en suspension dans l’air), ainsi que sur les gouttelettes provenant de la toux, des éternuements et des conversations, cette recherche nous rappelle avec force que nous devons également surveiller de près ce que nous touchons…

Le port de lunettes pourrait considérablement réduire le risque d’infection par la COVID-19

Le port de lunettes pourrait considérablement réduire le risque d’infection par la COVID-19

Bien que la bouche et le nez retiennent le plus l’attention, le virus SRAS-CoV-2 peut également être transmis par les yeux, d’où l’importance de se laver les mains avant de se toucher les yeux. Cependant, le toucher n’est pas la seule voie de transmission, les gouttelettes pouvant également se propager par voie aérienne vers des personnes non infectées. Une nouvelle étude portant sur des patients atteints de la COVID-19 en Chine a établi un lien entre le fait de porter des lunettes tous les jours et…

Les animaux pratiquent-ils l’isolement social en cas de maladies transmissibles ?

Les animaux pratiquent-ils l’isolement social en cas de maladies transmissibles ?

Une étude sur la manière dont différents animaux, des chauves-souris aux homards en passant par les grenouilles, les gorilles et les abeilles, font face au problème croissant des maladies infectieuses sur Terre révéle que certains semblent devenir moins sociaux, mais pas tous.

Pour les animaux sociaux, y compris les humains, l’isolement peut empêcher la propagation d’une maladie, mais il peut causer d’autres problèmes qui peuvent être aussi graves que l’infection, selon une étude publiée cette semaine…

Une découverte qui pourrait radicalement changer nos connaissances sur la façon dont certains virus se propagent

Une découverte qui pourrait radicalement changer nos connaissances sur la façon dont certains virus se propagent

Les virus sont les meubles IKEA du monde vivant. Dans le bon type de cellule, une poignée d’instructions et quelques outils moléculaires peuvent produire des multitudes “d’étagères” infectieuses. Aucun bricoleur ne veut parcourir toute la ville pour rassembler les matériaux nécessaires, en théorie, les virus ne devraient pas être différents. Pourtant, une nouvelle découverte suggère qu’au moins une catégorie de virus peut encore se reconstituer…

Des troubles mentaux tels que l’autisme liés à diverses infections durant la grossesse

Des troubles mentaux tels que l’autisme liés à diverses infections durant la grossesse

Une nouvelle étude portant sur près de 1,8 million d’enfants en Suède a révélé que les risques d’autisme et de dépression sont beaucoup plus élevés si la mère a été hospitalisée pour une infection pendant sa grossesse.Les résultats s’appuient sur une idée naissante, mais prometteuse, selon laquelle des infections spécifiques, contractées pendant la grossesse, peuvent nuire au développement du cerveau, augmentant le risque de troubles psychiatriques plus tard dans la vie, comme…

Les maladies infectieuses ont de véritables préférences saisonnières

Les maladies infectieuses ont de véritables préférences saisonnières

Au plus fort de l’épidémie de poliomyélite aux États-Unis dans les années 1940 et 1950, les parents gardaient souvent leurs enfants à l’écart des plans d’eau, craignant que la maladie, qui atteignait un pic en été, se propage fréquemment dans l’eau. Mais cette crainte ne pouvait pas expliquer les flambées estivales dans le monde entier, où les piscines publiques n’étaient pas aussi fréquentes…

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