Pour la Lune, la NASA veut en priorité visiter ces deux montagnes
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La liste des recherches scientifiques de la NASA sur la Lune ne cesse de s’allonger en prévision de son ambitieux projet de retour d’astronautes sur la surface lunaire.
L’agence spatiale américaine annonce une nouvelle priorité : l’exploration des monts Gruithuisen (Mons Gruithuisen Gamma et Mons Gruithuisen Delta), deux mystérieux monticules de roche granitique que les scientifiques soupçonnent d’avoir été formés par un magma riche en silice.
Image d’entête : les monts Gruithuisen photographiés par la sonde Lunar Reconnaissance Orbiter. Les dômes sont situés à 36,3° N, 319,8° E. L’image fait 55 km de large, le nord est en haut. (NASA/ GSFC/ Arizona State University)
Ce qui les rend si inhabituels, c’est que ce type de magma ne se forme habituellement sur Terre qu’en présence d’eau et d’une activité volcanique causée par le déplacement des plaques tectoniques, ce qui n’est pas le cas sur la Lune.
La NASA prévoit déjà d’envoyer deux ensembles distincts d’instruments scientifiques à la surface de la Lune, dont l’un permettra d’observer de près les mystérieux dômes.
Elle espère tirer parti de ses relations avec l’industrie spatiale privée pour lancer le Lunar Vulkan Imaging and Spectroscopy Explorer (Lunar-VISE), une suite de cinq instruments, dont deux seront montés sur un atterrisseur stationnaire et les trois autres sur une astromobile (rover).
L’explorateur disposera de dix jours terrestres pour grimper au sommet de l’un des deux monts de Gruithuisen afin d’en explorer la composition chimique et, espérons-le, d’en découvrir les mystérieuses origines.
L’agence espère que les découvertes du Lunar-VISE pourront également aider les futures missions sur la surface lunaire.
L’autre mission, appelée suite scientifique LEIA (Lunar Explorer Instrument for space biology Applications), étudiera les effets de la faible gravité et des radiations de la Lune sur la levure, un organisme modèle utilisé pour comprendre la réponse et la réparation des dommages à l’ADN, selon Joel Kearns, administrateur associé adjoint pour l’exploration au sein du Science Mission Directorate de la NASA.
Cette dernière espère lancer ces deux missions sur la Lune d’ici 2026, si tout se passe comme prévu.
Sur le site de la NASA : NASA Selects New Instruments for Priority Artemis Science on Moon.
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La liste des recherches scientifiques de la NASA sur la Lune ne cesse de s’allonger en prévision de son ambitieux projet de retour d’astronautes sur la surface lunaire.
L’agence spatiale américaine annonce une nouvelle priorité : l’exploration des monts Gruithuisen (Mons Gruithuisen Gamma et Mons Gruithuisen Delta), deux mystérieux monticules de roche granitique que les scientifiques soupçonnent d’avoir été formés par un magma riche en silice.
Image d’entête : les monts Gruithuisen photographiés par la sonde Lunar Reconnaissance Orbiter. Les dômes sont situés à 36,3° N, 319,8° E. L’image fait 55 km de large, le nord est en haut. (NASA/ GSFC/ Arizona State University)
Ce qui les rend si inhabituels, c’est que ce type de magma ne se forme habituellement sur Terre qu’en présence d’eau et d’une activité volcanique causée par le déplacement des plaques tectoniques, ce qui n’est pas le cas sur la Lune.
La NASA prévoit déjà d’envoyer deux ensembles distincts d’instruments scientifiques à la surface de la Lune, dont l’un permettra d’observer de près les mystérieux dômes.
Elle espère tirer parti de ses relations avec l’industrie spatiale privée pour lancer le Lunar Vulkan Imaging and Spectroscopy Explorer (Lunar-VISE), une suite de cinq instruments, dont deux seront montés sur un atterrisseur stationnaire et les trois autres sur une astromobile (rover).
L’explorateur disposera de dix jours terrestres pour grimper au sommet de l’un des deux monts de Gruithuisen afin d’en explorer la composition chimique et, espérons-le, d’en découvrir les mystérieuses origines.
L’agence espère que les découvertes du Lunar-VISE pourront également aider les futures missions sur la surface lunaire.
L’autre mission, appelée suite scientifique LEIA (Lunar Explorer Instrument for space biology Applications), étudiera les effets de la faible gravité et des radiations de la Lune sur la levure, un organisme modèle utilisé pour comprendre la réponse et la réparation des dommages à l’ADN, selon Joel Kearns, administrateur associé adjoint pour l’exploration au sein du Science Mission Directorate de la NASA.
Cette dernière espère lancer ces deux missions sur la Lune d’ici 2026, si tout se passe comme prévu.
Sur le site de la NASA : NASA Selects New Instruments for Priority Artemis Science on Moon.