Le mortel aveuglement de Nemo
Des chercheurs français et australiens ont découvert que les jeunes poissons-clowns vivant près du rivage meurent plus rapidement que ceux qui en sont éloignés, en raison d’une trop grande pollution lumineuse (ALAN pour Artificial light at night).
Comme pour l’image d’entête, à partir de l’étude : Poisson-clown à nageoires orange , (Amphiprion chrysopterus), dans son anémone Heteractis magnifica (Fred Zuberer/ Proceedings of the Royal Society B.)
Selon l’auteur principal de l’étude, Jules Schligler, de l’École Pratique des Hautes Études de l’Université Paris PSL (EPHE) et du Centre de Recherches Insulaires et d’Observatoire de l’Environnement (CRIOBE), tous deux en France :
Comme beaucoup d’autres poissons de récifs, les poissons-clowns se nourrissent, se reproduisent, défendent leurs territoires et interagissent avec d’autres poissons pendant la journée et se ressourcent en dormant la nuit.
Cependant, 36% des poissons-clowns exposés à la pollution lumineuse étaient plus susceptibles de mourir que les poissons soumis à des cycles lumineux naturels.
Comme les humains, les poissons ont besoin d’une période d’inactivité, qui est cruciale pour leur bien-être.
Photographies de la lumière artificielle de nuit (ALAN) à Moorea, Polynésie française (Jules Schligler/ Proceedings of the Royal Society B.)
L’étude publiée dans The Proceedings of the Royal Society B. : Long-term exposure to artificial light at night in the wild decreases survival and growth of a coral reef fish et présentée sur le site de l’Université de Melbourne : Artificial light harming clownfish.
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Des chercheurs français et australiens ont découvert que les jeunes poissons-clowns vivant près du rivage meurent plus rapidement que ceux qui en sont éloignés, en raison d’une trop grande pollution lumineuse (ALAN pour Artificial light at night).
Comme pour l’image d’entête, à partir de l’étude : Poisson-clown à nageoires orange , (Amphiprion chrysopterus), dans son anémone Heteractis magnifica (Fred Zuberer/ Proceedings of the Royal Society B.)
Selon l’auteur principal de l’étude, Jules Schligler, de l’École Pratique des Hautes Études de l’Université Paris PSL (EPHE) et du Centre de Recherches Insulaires et d’Observatoire de l’Environnement (CRIOBE), tous deux en France :
Comme beaucoup d’autres poissons de récifs, les poissons-clowns se nourrissent, se reproduisent, défendent leurs territoires et interagissent avec d’autres poissons pendant la journée et se ressourcent en dormant la nuit.
Cependant, 36% des poissons-clowns exposés à la pollution lumineuse étaient plus susceptibles de mourir que les poissons soumis à des cycles lumineux naturels.
Comme les humains, les poissons ont besoin d’une période d’inactivité, qui est cruciale pour leur bien-être.
Photographies de la lumière artificielle de nuit (ALAN) à Moorea, Polynésie française (Jules Schligler/ Proceedings of the Royal Society B.)
L’étude publiée dans The Proceedings of the Royal Society B. : Long-term exposure to artificial light at night in the wild decreases survival and growth of a coral reef fish et présentée sur le site de l’Université de Melbourne : Artificial light harming clownfish.
Cela c’est ballot.